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Finition maison

Conseils pour bien soigner les finitions intérieures de votre maison

À la fin des travaux massifs, il est temps de passer à l’agencement de l’intérieur, la décoration et bien évidemment les finitions de la maison. En parlant de ces dernières, comment les soigner pour du cachet à votre maison ? Peintures, quincaillerie, chauffage, tentures, … ces travaux de finition sont primordiaux pour personnaliser votre intérieur. Voici quelques astuces pour peaufiner les finitions de votre nouvelle demeure.

Installer les plinthes

Certains pourraient penser qu’il est possible de s’en passer. Ce n’est pourtant pas le cas. Les plinthes donnent du style aux jonctions entre les sols et les bas des murs harmonisant l’ensemble.

Choisir les bonnes protections pour le sol

Pour ceux qui ont opté pour un parquet, il est impératif de le protéger pour éviter qu’il ne s’abîme rapidement avec le temps. La meilleure solution est de procéder à un graissage ou une vitrification avec les produits adéquats.

Parfaire le système de chauffage

Aujourd’hui, il existe une multitude de systèmes de chauffage. Il est maintenant possible de l’accorder avec l’aménagement de votre intérieur. Généralement, les radiateurs sont placés près des fenêtres.

Fignoler l’éclairage

On ne parle pas ici du réseau électrique qui fait partie des gros œuvres. Il s’agit plutôt des sources de lumière qui peuvent améliorer le côté esthétique d’une pièce. Plus une maison est lumineuse, plus elle donne une impression de confort. En plaçant stratégiquement les sources de lumière, il vous sera possible de modifier l’ambiance de la pièce. Pour pousser sur le côté contemporain, vous pouvez privilégier les luminaires avec des cordons en textile torsadé noir et des prises et interrupteurs en laiton ou en céramique pour la touche d’originalité.

Choisir judicieusement les peintures

La peinture a un rôle primordial pour le côté esthétique des travaux de finition. Il est recommandé d’utiliser la peinture mate pour le plafond, car celle-ci laisse percevoir trop distinctement les tâches. Pour les murs, une peinture avec un fini velouté est beaucoup plus jolie et plus pratique au niveau de l’entretien. Les tons satinés sont idéals pour la salle de bain ou la cuisine.

Opter une robinetterie harmonieuse

Une robinetterie bien choisir peut changer radicalement le design de votre intérieur. Il est préconisé de choisir un ensemble assorti à la décoration intérieure que ce soit pour la salle de bain ou pour la cuisine.

Privilégier des poignées stylées

Le choix de la matière et du style peut faire toute la différence. Pour les portes, il faudra les assortir au look et à l’utilité de la pièce. C’est également important pour les meubles. De nos jours, les meubles font partie intégrante de la décoration. Aussi, en variant les styles et les matériaux, vous pouvez apporter une touche d’originalité à votre design intérieur.

Les petits détails à ne pas oublier

En parlant de finitions, il est hors de question de zapper les rideaux, tentures et stores. Selon la pièce et le style choisi, ils peuvent être déterminants pour l’harmonisation de la décoration. Pour finir, il est important de bien dissimuler les fils et câbles électriques pour éviter que ceux-ci jurent avec le tout.

Bardage

Pose de bardage bois : 3 conseils pour réussir !

La pose d’un bardage permet de répondre aux exigences esthétiques et du confort d’une maison. Avec une finition homogène et des teintes diverses, le bardage vient combler le manque d’esthétique d’une façade. De par les matériaux intégrés de sa fabrication, il assure l’isolation thermique et phonique par l’extérieur de la maison. Et étant donné son apposition à la façade, le bardage assure l’intégralité de sa protection. Mais pour bénéficier autant d’avantages, n’est-il pas mieux de réussir sa pose ? Voici nos conseils pour vous.

1. Faites le bon choix des matériaux !

En tant que professionnel du métier, kozari-terrasse.be a toutes les réponses pour vous ! Permettez-nous simplement de vous rappeler pourquoi est-il utile de bien choisir son matériau de bardage. Il y a trois types essentiels de matériaux au choix. Le bois est très esthétique, chaleureux, isolant. Il est particulièrement apprécié en tant que bardage pour la facilité de pose et son prix raisonnable sauf pour certaines essences exotiques. Le composite est l’alternative imitation bois pour accroître la résistance aux insectes et putréfaction ou changement de couleur. Le PVC allie esthétique et prix compétitif si le choix des bardages métalliques est idéalement réservé au local commercial.

2. Les lames sont mieux en position verticales

Cas des bois naturels ou bois composites, la position des lames contribue à l’avenir du bardage. Se déclinant en trois techniques ; l’orientation des lames de bois de bardage a un double rôle essentiellement une fonction esthétique et écoulement des eaux. La pose horizontale est la plus commune, car elle confère une esthétique et une harmonie incomparable. Celle oblique est difficile à mettre en œuvre, mais octroie un rendu singulier et un cachet artisanal de l’extérieur de la maison. La position verticale est appréciée pour accroitre la durabilité de la structure. Pour cause ? Les écoulements se canalisent dans les intermédiaires de deux lames et entrainés naturellement par gravités par le sens des nerfs du bois.

3. Le choix du profil des lames de bardages est crucial

Il y a diverses manières de relier les lames entre elles. Si elles sont toutes choisies en dépendance des esthétiques, il y a des côtés pratiques à éclaircir. La pose de claire voie laisse une petite espace entre les lames et permet de voir le jour, elle demande de la minutie dans la pose. Le profil bevelsiding, de son côté est réalisé en faisant chevaucher les lames créant un effet accordéon au bardage, elle est primée dans l’évacuation des eaux et donc idéale dans les régions à fortes pluies, mais consomme plus de matériaux. La pose clipsée ou tongue en groove permet aux lames de s’emboîter entre elles pour un rendu général homogène, si les lames ont un prix un peu élevé. Et l’Ontario, qui imite l’emboitement où chaque lame a une extrémité saillie à l’opposé de l’autre. Des petites rigoles se créent ainsi au milieu de chaque lame. C’est la manière la plus esthétique d’avoir un bardage bois.

Isolation façade : Comment choisir son revêtement ?

Le quart de la perte thermique d’une maison est occasionnée par une façade mal isolée ou simplement non isolée.  L’isolation de la façade est l’alternative proposée pour y pallier.  Non seulement elle contribuer à accroitre la performance thermique de la maison, mais est aussi une solution d’esthétique pour redonner de la valeur au bâti. Pour atteindre ces deux objectifs, le choix de revêtement de la façade est crucial. Entre autres face aux panoplies de revêtement proposé, faire le choix idéal n’est pas commun de tous. Décryptage.

Choix d’isolant pour façade : ce que dit la loi !

Depuis le 1-er janvier 2017, tous les bâtiments en matériau industriel à 50% à savoir le béton, le ciment, la terre cuite et le métal doivent isoler leurs façades. Sur une maison existante, un tel projet est recommandé en cas de ravalement de façade s’il est obligatoire pour les nouvelles constructions. Font exception à cette obligation, les maisons en matériaux non industriels comme les bois, les plâtres et les torchis. Confiez votre projet à art-du-toit.be, professionnel reconnu et bénéficier davantage de conseil notamment pour les aides et les primes.

Mais les règlementations autour du revêtement de la façade sortent de l’aspect qualité de matériau. Comme il s’agit d’un projet qui modifie l’aspect extérieur de la maison, la consultation de la PLU auprès de la mairie est conseillé notamment pour identifier la couleur, le matériau ou l’emplacement de la maison autour d’un site protégé ou qualifié monument historique.

 

Choix d’isolant pour façade : les isolants minéraux

Qualifiées d’isolants minéraux, la laine de verre et de roche est la plus commune dans l’isolation de la façade. Conçues à partir des roches, ces laines offrent une qualité presque naturelle et respirant au mur. Véritables barrières à la remontée capillaire et perméables à l’air, ce sont des revêtements idéaux qui allient performance thermique et confort de la maison. Le choix de la laine de roche est l’alternative pour offrir à la façade une meilleure résistance au feu.

Choix d’isolant pour façade : les isolants synthétiques

Dans cette famille d’isolant, il y a le polystyrène extrudé, le polyuréthane ou PUR et le polyisocyanurate PIR. Plébiscités par leur coût, ils permettent d’habiller et d’isoler les façades sur une étendue importante. Moins fragiles aux parasites et imperméables, les isolants synthétiques figurent en tête de liste des revêtements isolants de façade. Leur légèreté leur confère en plus une aisance dans la pose, qui se répercute naturellement sur la main d’œuvre. Attention cependant au feu où leur fumée sont très polluantes.

Choix d’isolant pour façade : les isolants naturels

Trois catégories d’isolant sont recensées suivant leurs origines. En premier les isolants naturels d’origine végétale comme le chanvre, la cellulose, la fibre de bois et le liège. Puis les minérales comme l’argile, la perlite et la vermiculite. Si les laines animales ne convient pas à l’isolation façade. Moins d’empreinte écologique, les isolants naturels de façade permettent également d’habiter une maison plus saine avec une performance énergétique accrue.

L’essentiel à retenir sur le sablage de façade

Les murs extérieurs d’une maison sont exposés à une multitude d’agressions. Elle endure les intempéries, les effets de l’ultraviolet et du gel. Ils subissent également la cruauté de la pollution et divers acte de vandalisme. Heureusement, il existe plusieurs techniques pour leur redonner leur éclat. Le sablage de façade fait justement des méthodes les plus efficaces…

Qu’est-ce que le sablage de façade ?

Le sablage de façade est une technique de ravalement rapide et efficace. Il permet de nettoyer une surface particulièrement encrassée sans utiliser d’eau. A la place du précieux liquide, cette méthode emploie divers matériaux abrasifs. Les façadiers (voir isotra-sprl.be) ont recours à du verre concassé, du gravier, des extraits de coquille ou des corindons. Quoi qu’il en soit, elle redonne une allure flambant neuve à une maison particulièrement exposée à la pollution. C’est aussi un moyen de venir à bout de la moisissure ou des végétaux qui colonisent les murs. Outre le béton, la pierre, la brique de verre et diverses surfaces dures peuvent être sablées.

Dans quelle occasion choisir cette technique ?

De nombreux propriétaires optent pour le sablage de façade lorsqu’ils entament une rénovation de leur maison. Ceux qui ont un bâtiment en bordure de route sont parmi les plus grands adeptes de cette technologie. Leurs propriétés sont sévèrement entachées par la pollution. Ils s’encrassent tellement qu’un ravalement décennal ne suffit plus. Beaucoup plus pratique qu’un renouvellement de la peinture, cette méthode est recommandée tous les 5 ans. De toutes les manières, il s’agit d’une manière beaucoup plus expéditive pour venir à bout des salissures impossibles à enlever manuellement. L’abrasion requiert tout de même quelques conditions. La surface doit être dure et complètement lisse. La façade doit aussi être en bon état.

Quels sont les avantages de cette méthode ?

Expéditif, le ravalement de façade permet de redonner immédiatement son éclat à la maison. Cette technique de nettoyage approfondi est recommandée s’il faut une rénovation rapide alors que le temps est restreint. Les matériaux abrasifs viennent à bout de n’importe quelles salissures. Ils sont tellement efficaces qu’il y a des risques de décaper la peinture. D’ailleurs, c’est une manière de se débarrasser d’une ancienne couche afin de la renouveler. Les techniciens utilisent un aérographe spécial pour enlever les graffitis. Après le sablage à sec, la surface devient particulièrement lisse et uniforme. Le rendu esthétique est sans équivoque sur un mur en pierres naturelles.

Combien coûte ce genre d’entretien ?

Le sablage de façade reste une technologie de pointe qui coûte son prix. Actuellement, seuls les experts en la matière peuvent la maîtriser à la perfection. Cette compétence est proposée autour de 70 euros. Ce tarif au mètre carré inclut la main-d’œuvre et les accessoires. Par ailleurs, la législation impose quelques recommandations sur les produits employés. En effet, certains matériaux abrasifs utilisés pour ce nettoyage en profondeur présentent un danger pour la santé humaine et l’environnement. La teneur en silice ne devrait pas dépasser les 5 %. Cela dit, l’état du mur à sabler compte dans l’élaboration du devis. Le type de salissures entre également dans l’équation.

Comment choisir son portail ?

Plusieurs critères sont à prendre à considération pour trouver le meilleur portail ou portillon. Vous avez intérêt à accorder de l’importance aux règles d’urbanisme, au type d’ouverture, mais également au matériau et divers autres paramètres. Découvrez-en davantage à travers ce guide d’achat.

Prendre un portail esthétique respectant les règles d’urbanisme

L’installation d’un nouveau portail doit faire l’objet d’une déclaration au préalable au niveau de la municipalité. La mairie accorde une certaine liberté aux contribuables à condition de respecter le Plan Local d’Urbanisme. Ce PLU donne des détails sur la hauteur. Il faut dépasser les 3,20 m pour une ville de plus de 50 000 habitants. Ceux qui vivent en lotissement doivent aussi se conformer aux disciplines intérieures. L’ouverture doit par exemple s’harmoniser avec celle des autres propriétés dans le même quartier résidentiel. Elle ne devrait aucunement gêner le voisinage, surtout par rapport à la servitude de passage. Dans certaines situations, il est possible d’opter pour des simples barres. Cependant, ce serait préférable de miser sur des plaques occultant partiellement ou complètement la vue. Cette disposition permet de mieux préserver la vie privée et moins attirer la curiosité des passants.

Privilégier une ouverture adaptée ainsi qu’un design adéquat

Pourvu de vantaux, le portail battant convient pour ceux qui ont assez de place sur un terrain plat. Les parties amovibles s’ouvrent vers l’intérieur de la propriété. Elles se fixent sur des poteaux solides ou des murets bétonnés. Ce qui requiert souvent un ouvrage maçonné, mais le coût reste généralement en dessous d’un modèle coulissant. Cette disposition épargne l’espace. Un seul panneau glisse latéralement. Ce système peut être installé sur une entrée en pente. La mise en œuvre peut être fastidieuse puisqu’elle exige un rail fonctionnel. En ce qui concerne le design, un portail peut être droit, en chapeau de gendarme ou en V. Les formes bombées et incurvées peuvent aussi être envisagées. Ces diverses déclinaisons sont à choisir selon le type de terrain et d’ouverture. Le V correspond par exemple pour les battants. Un ajourage convient sur un modèle en bois. C’est la meilleure manière de mettre en valeur le jardin. treegarden.be propose d’en savoir plus sur ce sujet.

Décider le matériau en fonction de vos attentes

Le portail aluminium a actuellement le vent en poupe. Ce matériau offre différents avantages dont l’esthétique, la légèreté, mais surtout une grande malléabilité. Le métal argenté se façonne de toutes les manières imaginables. Il peut aussi être peint avec une couleur respectant l’architecture de la maison. C’est également le cas d’une ouverture en fer. Cette dernière a la particularité d’être très solide. Elle exige un entretien régulier, notamment le renouvellement de la protection antirouille. L’authenticité constitue le meilleur atout des modèles en bois. Une bonne couche de lasure devrait augmenter leur durabilité. La pose est assez facile. Puis, les vantaux sont plus légers. Les mêmes caractéristiques tiennent pour le portail PVC. Ce dernier a l’avantage du prix comparé aux autres. Il demande peu d’entretien alors que l’esthétique est au rendez-vous. Enfin, il faut toujours envisager la possibilité d’automatiser l’ouverture et la fermeture.

Comment réaliser un ponçage béton ? 

Lors d’une construction ou d’une rénovation de maison, il est nécessaire d’éliminer les défauts du sol. Aussi, pour avoir une finition impeccable, il est nécessaire de poncer le béton. Pour ce faire, il faut avoir les bons outils et suivre les bonnes étapes. Ce n’est pas une opération aisée et souvent, il faut faire appel à des professionnels pour que le résultat soit de qualité. Découvrez dans cet article, tous les points à prendre en compte.

Le ponçage du béton

Cette opération est effectuée avant la pose de revêtement pour que la surface soit totalement lisse. Elle permet également de favoriser son adhérence. Avant de passer sur les étapes à suivre, il est important de souligner que plusieurs professionnels proposent aujourd’hui cette prestation comme monte60.be. Il s’agit d’une entreprise spécialisée dans tout ce qui concerne les sols, les murs et le béton. Pour effectuer les travaux, il faut protéger tous les objets et les accessoires dans la maison. Ceci est obligatoire en cas de rénovation. Il est également recommandé de travailler avec les fenêtres ouvertes car les travaux demandés génèrent beaucoup de poussière. Il ne faut pas négliger le port des équipements de sécurité tels que les masques, les lunettes et les gants.

La ponceuse à béton

Pour poncer le béton dans les normes, il faut se munir des bons outils. Pour ce faire, la ponceuse béton ou surfaceuse est celle qu’il vous faut. Compte tenu de la dureté de la matière à travailler, c’est l’outil idéal. Il peut être utilisé dans n’importe quelle position pour traiter les murs et les sols. La ponceuse béton est disponible en diverses puissances allant de 1800 à 2400 W. Plus elle est puissante, plus elle aura un démarrage rapide et une rotation élevée. Cet appareil est doté d’un carter de protection, d’un manchon d’aspiration, de quelques disques, d’un cordon d’alimentation et d’une poignée pour faciliter la manipulation.

Les étapes à suivre

Pour réaliser le ponçage du béton, vous devez tenir compte de chaque étape et vous devez bien préparer la surface à travailler. Voici ce qu’il faut faire :

  • Effectuez le ponçage par le centre ;
  • Effectuez des mouvements linéaires en allant en long et en large ;
  • Restez à une dizaine de centimètre d’espace par rapport aux murs ;
  • Passez la ponceuse plusieurs fois sur les zones pour avoir un meilleur résultat ;
  • Travaillez sur les bordures de la pièce en vous munissant d’une ponceuse de la taille idéale ;
  • Faites attention aux plinthes si le ponçage se fait dans le cadre d’une rénovation ;
  • Effectuez la finition avec une perceuse adéquate de manière à ce que chaque zone soit travaillée.

Si vous savez vous munir d’une ponceuse béton, vous pouvez effectuer les travaux par vous-même. Mais pour plus de sécurité, il est nécessaire de faire appel à un vrai professionnel.

Vous savez désormais tout ce qu’il faut faire pour les travaux de ponçage béton. C’est une opération obligatoire pour permettre une bonne adhérence du revêtement avant de faire la pose. Plusieurs professionnels sont disponibles pour vous apporter leur aide sur les travaux.